Cela fait déjà un certain temps que Jean et moi regardions ces objets volants surnommés quadricoptères. L'idée d'y fixer une caméra pour filmer ou photographier nous intéressait beaucoup. Pouvoir ajouter une dimension spatiale à nos photos, que nous n'avions jamais eu auparavant, sauf évidemment au travers d'un hublot d'avion. Du coup, l'enthousiasme s'empare de nous et nous voilà prêt à tenter l'expérience avec un nouveau bidule acheté en rêvant à de futures prouesses.
Le modèle est un bas de gamme peu onéreux, tout juste parfait pour une initiation en douceur. Et on peut le faire voler dans la maison, sans danger pour nos voisins. Rien à assembler si ce n'est la batterie du drone à charger et les 4 piles AAA du contrôleur. Les hélices avant sont rouges pour repérer l'avant du drone mais je ne suis pas sûre de les distinguer à plus de 10 mètres...
C'est là que le défi commence. Le contrôleur a beaucoup de boutons et 2 manettes. Plus difficile à retenir que les manettes du volant de voiture. Tout semble se jouer avec les pouces, ce qui n'est pas une habileté propre à notre génération. Mieux vaut tard que jamais! Avec de nouveaux termes techniques à retenir, la tâche d'apprentissage se complique. Les instructions sont en anglais, vite mon traducteur Google.
D'ici notre atelier d'information sur le pilotage d'un drone prévu en juin, nous aurons au moins un peu de temps pour nous familiariser avec ce nouveau hobby!
Quelqu'un nous a recommandé un modèle plus fiable que notre premier achat. Il s'agit du Blade Nano QX RTF. J'ai trouvé un vendeur qui le fournit avec 6 batteries rechargeables extra. C'est apprécié si on veut faire durer le plaisir et la pratique. Vraiment petit et à un prix raisonnable, j'espère avoir fait le bon choix. En tout cas, ça ne peut pas être pire que mon premier drone.
En ouvrant la boîte, tout semblait en ordre. Les instructions étant simples, je n'avais qu'à charger la batterie et insérer les piles AAA dans le contrôleur.
